Une société qui se termine, une société terminale, donne l’intérêt aux plaisirs de pacotilles, aux faussaires et aux blaireaux. Elle n’a plus la moindre classe en elle, ni même d’esprit décadent.
Une société qui se termine ne jouit pas, elle n’a aucun renouveau en elle, elle n’est rien, elle complote pour des sucettes. Elles agite le gain avant l’esprit supérieur. Elle fait la morale aux meilleurs, divinise le vide.
Elle n’est rien, elle est un abcès, elle n’a plus accès à rien, elle devient religieuse, passeiste, familiale, elle ne vaut rien. Elle s’acharne à jouir, et se voue à la religion. Cette saloperie de religion revient, dont personne ne sait rien.
Elle se robotise, elle ne vaut rien, elle se progressise, se divinise, se vulgarise. Elle crève de son dimanche, complote contre les meilleurs, encense la dégénérescence. Elle ne vaut rien.