Il n’y a qu’une famille.

Le véritable progressisme ne se soumet pas aux injonctions familiales. Il est libre et pur. Il sait que la famille, c’est l’esprit clanique, l’inégalité, l’injustice, le snobisme, la guerre, les massacres. L’origine j’entends. Chaque fois que vous encensez bêtement votre famille, vous tuez trois enfants palestiniens.

Ces vieilleries qui reviennent en force aujourd’hui, à mesure que la liberté et la démocratie décroissent, que la vision du monde se ternit et s’affadit, que le bonheur se perd, ces vieilles lunes ne vous feront jamais me comprendre. Aimer la vie est bien autre chose.

Le partage est contre la famille, la fraternité aussi. Les meilleurs l’ont dit, sans parler du Christ. Les petits qui s assomment eux mêmes à vouloir résoudre les problèmes dus à ces injonctions, je les vois tellement de haut. Je trône ainsi dans des espaces amoureux où il n’y a pas d’autres liens que le meilleur de soi-même, où il n’y a pas de réclusion.

C’est n’est pas que je haïsse la famille, mais je choisis le meilleur et n’oublie rien. Je n’ai aucun problème. Je suis redevant ou pas envers ce qui a de la valeur, ce qui a eu de la valeur. Comme un idéal de droite, je n’ai aucun préjugé et aucune appartenance. Je sais d’où je viens, et je sais où je vais.

Mes idées sont claires, belles et fines, rien de vicieux ne peut entrer en moi. Il bat en retraite à ma vue. Je m’aventure toujours, intérieurement, dans des contrées qui s accumulent et forment une totalité, parfois terrifiantes et souvent sublimes.

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