Les meilleures.

Il est vrai qu’il y a de véritables progressistes et de véritables féministes qui sont de mon côté, en dehors des fils-de-puteries fémino-masculinistes d’un ancien temps, ou bien des fachos. Je n’attire que ceux qui veulent déconstruire les mythes et la société. Je n’attire que ceux qui ont à proposer l’humble vérité, la pureté des choses. Les autres restent dans l’ombre. Mais ceux qui sont avisés et savent s’orienter vers ce supra bien moral, cette lumière inframince et cette vérité sublime, cette intense sensation de l’être et cette beauté à toute épreuve, ceux qui sont les meilleurs et les sublimes ceux là me suivent.

Les progressistes véritables, pour les fachos ils ont là aussi mais c’est un peu un autre job qu’ils font. La vérité chez moi est ce ciel qui traverse les remparts, lorsque les autres rampent encore devant, mais moi qui traverse les matières ceux qui me suivent le savent aussi et sont doués d’ubiquité et de pouvoir. Ce sont les meilleurs, ce sont les cavaliers du siècle qui sillonnent l’espace muni de leur être croissant, plongeant et défiant toutes les lois du monde vers ce sentiment unique et terrible, de la fine vérité, de la beauté qui traverse tout par sa grâce et son oeil malin.

Elles sont mélancoliques et sublimes ces femmes, divines et accrochées à des créneaux de l’espace, des pointillés de stratosphère et des merveilles de sucreries qu’elles saisissent dans leu vol. Sublimes et armées de leur intelligence, elles sont transparentes et rien ne peut altérer leur marche si ce n’est les variations qu’elles intègrent comme autant de pouvoirs qui les traversent et les transforment avec leur nature sublime, dans la leur qui reste une et entière.

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