Oh, la verdure, le petit gazon. Laissez cela au monde en général je vous prie. Je voyais des gazons et une lumière déclinante parfois, parce que je marchais, j’étais libre, et mon intériorité semblait totale. Il y avait des ballons et des poteaux rouillés. J’étais tout, avant qu’on ne heurte ma sensibilité, j’étais une équivalence, une écluse et une forêt, j’étais ce qui ne dit mot, avant qu’on ne blasphème mon silence. J’étais tous les gazons, toutes les verdures et toutes les beautés. On s’est vengé de mon incandescence, et pourtant je n’avais rien fait, on a piétiné les lumières et les beautés qui prenaient cours dans mes antres, dans mes beautés lovées. J’étais tous les sentiers, toutes les femmes, avant qu’elles ne se vengent, avant qu’elles ne fassent leur mon intériorité. J’avais vu parfois ce qui adviendrait.