Le mystère.

by Florian

Tu t’ennuies tel un tesson de bouteille. Quand tu étais ivre cette ivresse enlacait une merveille. Elle était jadis si belle. Elle loge dans un parfum qui tourne sur une cordillère.

Dans l’ennui citadin il n’y a parfois plus rien. Des gens s’efforcent à ressembler au robot de toujours. Des gens ne sont rien qui fut la cordillère. Des gens s’amusent à inventer des mystères.

La bêtise rayonne, et on en fait commerce. Mais ce qui est éperdu porte ce nom du mystère qu’on veut connaître. Il faut être perclus de toujours et surévalué pour le savoir, pour le toucher. Il faut ne rien avoir à faire avec le reste.