Les chiens !

Vous m’avez condamné à la solitude, toujours on m’y a condamné, vous, avec vos prétextes grotesques, vous m’y avez condamné, pour que ce soit moi à l’œuvre ! Pour que ce moi qui bâtisse vos hôtels et vos temples ! Oui moi ! Moi qui ai bâti, influencé, construit, pensé, travaillé, pour tous, même le clown ! Vous m’avez emmuré ! Condamné à la maladie et la misère ! A la mort ! Avant que de me ridiculiser à me voir dans l’état où j’étais ! Voilà tout ! Vous m’avez condamné ! Meurtri étouffé, laissé pour mort ! Vous m’avez battu ! Livré à l’ennemi ! Livré aux chiens !

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*