Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

Oui j’attends, et beaucoup attendent le petit rouage, le petit rouage qui me fera développer et croitre. Tant de gens attendent le petit rouage, oh le petit rouage vous imaginez, avec toutes les saveurs et les transparences d’avant, oh le petit rouage. Mais le grand rouage ! La grande vie et diable qu’il est possible et vrai, oui oui le grand grand rouage !

Que les choses soient à leur juste place, oui leur juste et belle place, bien qu’en réalité ma vie soit altérée et qu’on ne puisse revenir en arrière, mais le petit le grand, le petit le grand rouage, la roue dans ces âges qui d’airain, oh oui le rouage le rouge qui vous fasse moins stupides et beta et moi plus long et délicieux encore.

Le rouage qui remette les choses à leur place, j’en serais peut-être capable, qui voudrait le bon petit rouage, le petit rouage qui fasse le siècle vrai et la température clémente – oui c’est toujours le cas dans l’avenir – le petit rouage qui puisse rendre plus souvent encore – car c’est déjà le cas – ce monde aimable et habitable, comme le veulent les progressistes.

Ah les progressistes, votre petit rouage existe, il est là dans les mains de Florian qui lit ou qui stationne sur son escalier de bois. Alors soyez réalistes. Le petit rouage, encore faudrait-il que le grand rouage active le petit rouage. Ah oui rouage rage roue âge oui ! Tout est dans ce petit rouage.

Je suis étonnamment calme, même si j’ai mal dormi. Oh si seulement je n’avais d’ennuis financiers… Je n’y pensais pas même quand j’étais plus jeune, qu’avec plus d’argent je m’en serais mieux sorti. Oh ce petit rouage qui s’est érodé alors, ce petit rouage qui s’est perdu dans l’air ambiant et dans les cloisons de bois, oh le petit rouage.