La jouissance.

Les gens prennent un plaisir immense à détailler les relations sexuelles de mon père avec les plus belles femmes au monde, son orgasme, ses hurlements de décharge sexuelle dans des femmes qui étaient destinées à moi.

Mon bourreau, l’homme le plus pervers et hideux au monde, à qui je ne dois rien, dont tout ce que je suis est le fruit d’une émancipation de sa personne et des toxines qu’il m’a transmises a bénéficié de tout mon travail pour accomplir la suprême des perversion sous l’œil hilare de tous les hommes du monde entier, jaloux de ma sensualité. Il peut donc jouir en hurlant de haine et accomplir le double viol : jouir dans le corps de très belles femmes en s étant fait passer pour dieu et prendre le mérite de son fils. Le Viol ultime, terminal, la destruction radicale de Florian, sous l’œil jouisssif, cocasse et hilare du monde entier, le petit rire des jeunes filles.

L’humiliation et la destruction de Florian, sous les hospices de l’amour est totale et radicale. On s’empresse de dire que je suis devenu un cadavre, et à me mettre de la poids de la negativite sur le dos. On s’est empressé de détruire ce qui me restait.

La vengeance envers le garçon sensuel qui a charmé gratuitement est totale. Le complot parfaitement couvert, la justice verrouillée, l’humiliation totale, le bénéfice absolu, le ricanement permanent. Et on continue à avoir des projets pour moi, qui parlent d’amour.

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