La mort de la lumière.

by Florian

La recherche de la mort clinique est une chose étonnante. Jusqu’ici elle était cachée, mais elle a eu maintenant le loisir d’être mise en lumière. Des petites filles et des féministes progressistes ont eu la possibilité de réaliser leur désir de mort dans la hideur et la sénilité, dans l acariâtrete.

La lumière est née : le désir de mort psychique, de cessation du psychisme dans la hideur et l acariatrete a vu le jour. Elles veulent mourir dans la laideur pour se réaliser, et dans le mal, le mal petit et sénile. Weinstien s’est venge !

Mourir dans la hideur et acariâtrete, venger des années de souffrance avec de beaux garçons, mais mourir, jubiler dans la hideur, le grognement insensible et acariâtre, le colonialisme et le racisme, le rêve, l’inverse de ce que l’on prétend être, le rêve !

Mourrir dans la hideur, dans un pou crispé, un paysan, un censeur zélé, un insensible à toute forme d’art moderne, insensible à tout, crispé, acariâtre, un censeur haï de tous ses élèves !

On recherche son inverse, l’inverse absolu de soi, c’est excitant, laid, puant (je connais l’odeur en vrai), un petit pou fripe et crispé pour les demoiselles, un insensible, un passeiste, un insensible à l’art contemporain, un mort clinique !

Car on ne pouvait pas le montrer avant, il y avait trop de lumière… Mais la dégueulasserie était tapie dans l’ombre !