« Il y a deux choses on va dire. Les neurones et le cœur. Le cœur vous connaissez, j’essaye de me faire porter avec quand il vient. Mais les neurones c’est autre chose.
Les neurones ça va très, très vite. Tu ne peux pas toujours t’attarder, mais ça peut avoir du désir. Je suis plus neuronal que… corporel. Parce que le cœur là avec moi ça donnerait quelque-chose d’assez grotesque. Mais vous le faites très bien.
Mes neurones sont en pagailles, mon cœur aussi, c’est un bordel absolu, je pense que les deux communiquent mais je suis plus neuronal. En fait mon cœur réagit très lentement. J’aimerais qu’il réagisse un peu plus. Parfois je pense l’avoir perdu. Il est quelque part.
Mes neurones l’ont remplacé. Elles se sont calquées sur lui. C’est vraiment déréglé tout cela et je ne sais pas comment remplacer le cœur par les neurones, ou les neurones par le cœur, comment retrouver un corps qui m’appartient. »