La coupole.

Je n’en reviens pas d’avoir écrit une chose pareille, je n’en reviens pas Florian, écrit en un éclair irréfléchi, mais quel éclair, venu dont ne sait où, et ce matin te voit avec ce paragraphe écrit, ce pic-là lors même que c’est le matin et que tout allait bien.


Sois plus malin au moins il t’aurait suffi comme à ton habitude de laisser passer et tu aurais été gagnant. On laisse passer des possibles dans notre esprit et c’est comme cela qu’il reste paisible. Mais vous auriez voulu que je n’écrive pas de poésie ?


Toutes sortes de pensées en latence sont possibles, leurs résultats potentiels restent en soi une stabilité. Les écrits ont leur résultats, il sont des mots qui gravitent dans dans la coupole du crâne et construisent leurs nids et leurs alvéoles. Tu devrais donc faire bien attention.

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