Je n’étais donc pas libre puisque ça n’a pas abouti, ça n’a pas pu se solidifier autrement que par une migraine, ni se souder à nouveau, puisque c’est oublié. Puisque les chaînes m’ont emporté, tout est faux, rien ne fut juste, tout fut mensonge. Une vision n’est qu’un oxygène malfaisant, quelque chose qui dit juste mais s’avère faux. Je croyais à une étoffe fluide qui apparaissait, mais ce n’est qu’un chiffon de poussière. Je n’ai jamais rien vu, senti. Pourquoi ? Pourquoi rien n’existe ?