Le progressisme

by Florian

J’ai remarqué qu’il est rare qu’un progressiste mette ses idées en pratique, parce que ça ne marche pas et que tout ne dépendra jamais que des personnes. Il fait à sa guise comme tout le monde. On fait tous à sa guise, et selon les personnes, on se retrouve dans des situations parfois contradictoires, voire grotesques dans certains cas. Une forme de sagesse consiste à être multiple et à changer, comme l’avait compris Fernando, mais là encore ça dépend des personnes et ça ne s’obtient pas. Le progressisme est souvent la croyance en la baguette magique de cendrillon.

N’allez pas vous venger ce que je j’ai dit, je vous préfère à d’autres et puis je vous l’ai dit, j’aime les personnes, même si elles ne veulent pas me voir, ce qui pourrait expliquer ma solitude et ses problèmes non ?

Mais revenons au progressisme, il existe depuis toujours, il est une constante et un point de repère dans le temps, surtout dans l’époque moderne (mais elle aussi est un repère et de quand elle date, 1789, début du 19ème, années 20, 1945, après encore ?). Voilà donc il a toujours existé et il est un bon vieux repère. Un petit coup de progressisme, un petit coup de C news et puis s’en vont, on rééquilibre ses neurones et on tient bon. Je n’ai pas de parti.

Le vrai progressisme n’aurait pas de parti ? Quoi ? Quoi ? T’es fou ?