Là je viens d’entendre que je ne comprenais pas l’humour bienveillant des autres. En fait je suis parfaitement conscient de votre bienveillance (enfin je parle des bons) et elle me plait beaucoup, mais disons que la situation dégénère un peu parfois, selon toute prévisibilité. Et je vous ai dit aussi que cela m’ennuie à un point innommable de manquer de respect aux grands artistes bienveillants (pas forcément connus je précise, je suis censé être un poète un peu connu du monde littéraire) que j’admire.
J’ai oublié ce que je voulais dire ensuite.
Je crois que c’était ça : il suffit de m’inscrire dans une situation réelle pour voir qui je suis vraiment, une bonne situation. Et là tout pourrait s’évanouir. Ou bien ce qu’on sous-estime ou surestime chez moi disparaitrait, je serais à ma place, plus rien ne manquerait d’équilibre, ni votre jugement ni le mien. Et l’art où serait-il ?