La douceur peut être stagnante, sans rien vouloir, comme des vents contraires en soi. Elle porte et voit, crée des images réconfortantes. Une certaine angoisse curative est alors l’image et le transport du poète qui sent tout, du poète qui est, du poète qui souffre parfois.
Ou bien elle peut être rassurante, elle peut être ordinaire, manger un simple croissant pour Florian si beau en ce monde si vrai, où qu’il soit, en voyage, en partance, dans la normalité, la vraie, la convivialité typique du Florian en retrait, trop pur pour mener quoi que ce soit…