Mon père, qui est un tortionnaire est un terroriste, a réussi à s’emparer de l’esprit de milliers de jeunes filles, en ayant utilisé ma renommée.
Ce qu’il y a avec ses propos superficiels pour jeunes filles, c’est qu’elles ne s’aperçoivent pas qu’il s’agit de quelqu’un de cliniquement mort. J’ai été son fils, donc je peux en témoigner, je suis le seul à même de le faire. Il ne m’a rien transmis, à part la mort clinique avec laquelle on ne peut que combattre dans le vide. Ce n’est pas de l’aide qu’il apporte, mais une destruction de la psyché qu’il faut ensuite soi-même reconstruire. Et là où cela peut sembler paradoxal, c’est qu’on peut se servir de sa confusion mentale pour se reconstruire. Il transmet la mort clinique – son hurlement de haine -, et à partir de cette mort de la vie, du vivant, de l’amour et de la liberté, il faut se reconstruire avec des pensées qui peuvent dans un premier temps s’approcher des siennes.
Il aurait pourtant suffit d’ouvrir les yeux.
La seule chose à faire est de fuir cette personne venant du fond des âges.
Il est la terreur, il vient d’une famille de tortionnaires et de terroristes (OAS), il est la terreur comme il a terrorisé tous les élèves masculins de son lycée pour se venger du benêt qu’il était, en tant que censeur, il est le pervers qui veut violer la jeune fille.
J’ai eu des terreurs psychotiques à cause de lui, d’une violence inimaginable en 2007 2008, des angoisses psychotiques que vous n’imaginez même pas en rêve, un anéantissement absolu. Je m’en suis sorti par moi-même. Il se servira toujours de moi pour proliférer.
Avant cela j’ai eu des troubles obsessionnels compulsifs dès la pré adolescence où il m’a massacré, puis des questionnement infernaux. Il ne faut pas le comprendre, il n’y a rien à comprendre, il ne faut pas penser à lui.
Je suis son fils et le seul à même d’en parler, n’oubliez pas.
Florian
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