Maho et la Chine.

Les mots en l’air sur le pacifisme, l’élément spirituel, la soi-disant beauté, seules ces vacuités, de la bouche d’un snob complexé, peuvent charmer les gens qui ne savent voir. J’ai souvenir que Maho, qui ordonnait au peuple ses caprices, mais qui ne l’aimait pas, lui avait ordonné de pratiquer des exercices corporels dans la nature.

Mais voilà ce qui advint, alors qu’en Chine cela avait été naturel et culturel depuis des millénaires, ce grand pays de spiritualité, cette artificialité nouvelle dénatura l’âme de la Chine par des pensées saugrenues, et la population se mit à s’ennuyer à en mourir dans les campagnes, car elle suivait des ordres qui dénaturaient le naturel, et la véritable tradition.

Il fallait se plier à des règles saugrenues, inventées de toute pièce, mettant à mal la nuance et la diversité de la Chine millénaire, par une reconstruction grotesque.

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