La mise à mort.

Ils allaient le mettre à mort. Tout avait été soigneusement préparé. Cet ange de l’étrange était coupable que l’étrangeté cesse d’être étrange. Ils avaient trouvé le maillon faible et s’acharnerent dessus en pensant même qu’ils pensaient vrai.

C’était toute l’erreur du monde face à Florian, face à l’étrangeté. Elle ne devait plus être, il fallait en finir avec cela. On avait inventé toutes sortes d’histoires à son sujet, parfois intéressantes et positives, pour reprendre votre lexique.

Mais il fallait qu’elles aient une échéance : il fallait que son martyr cesse et qu’on le mette à mort. On le pendit et donna son cadavre à manger aux porcs.

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