Il y a deux goûts du jour. D’abord celui qui est, superbe et élogieux, dans la frange intangible, dans le sceptre de lumière, dans l’éternité, dans le vouvoiement, dans l’écartèlement des créneaux et des ouvrages, laissant paraître une nature paradisiaque, ici même. Et celui qu’on nous soumet, qu’on nous impose avec les stigmates de la peur et des nerfs inappropriés. La vraie joie saura trouver ce qui puise au fond et se libérer elle-même de tout barrage.