Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

La spiritualité est ce qui n’est pas l’être, l’être de l’étant, mais son cadavre, ou tout au plus son linceul, qui ne peut être, qui ne peut se mouvoir, qui est dans l’étant sans que l’être qui fut ne puisse lui apporter un quelconque secours.

Ce qui déprime tant l’homme est ce qui eut pu le ressusciter, ce qu’il choisit est de tuer l’être de l’étant, de ne pas être. L’être de l’étant, certain en gardent une parcelle en eux, d’autre un devenir, mais la mort de l’être, l’absence d’être ou le cadavre de l’être, parmi l’étant est une chose qui peut passer inaperçue. Il n’y a rien dans l’être s’il n’est plus de l’être, il est tout au plus le désir de l’être.

Celui qui est est inscrit dans l’étant, son corps y appartient, son corps communique avec l’étant, car il n’est rien du mensonge, il est l’être de l’étant.