Ce qui a trait au sexe est toujours une défaite. Il s’agit d’une mécanique nécessaire, dont la quasi totalité de la population est victime, sans jamais pouvoir la dépasser, car elle est totalement incapable d’aller plus loin ni même de servir un discours qui la dépasse qui ne soit pas mensonger. Voilà le handicap principal du monde. Le handicap, c’est le sexe et son meilleur ami, le mensonge. Le culte du sexe et son impossible dépassement est le plus merveilleux aveu d’échec et d’impuissance du monde, totalement incapable de le dépasser et gravitant autour comme un mendiant (au mauvais sens du terme).
Car quelqu’un qui sait se projeter au-dessus du robotisme qu’est le sexe, sans que le monde entier, dans le cas unique qui est le mien, vienne mendier à sa traine et trouver des subterfuges, de plus en plus malsains et gravitant autour de l’hideuse odeur du social et de la famille (la merde, car tel est le lien), quelqu’un qui sait se satisfaire de cela, celui-là, au-delà des complots interminables des femmes attachées au lien de l’anus et de la merde qui gravitent autour du sexe, soit la spiritualité, la pensée de la merde, celui-là est l’être enviable.
Est enviable celui qui n’est pas de la merde, celui qui n’est pas le trisomique qui gravite autour de l’éloge de la merde et sa spiritualisation qu’est le désir unique d’obtenir des relations sexuelles.