Le pn peut se montrer sympathique parfois, il cherche même à le faire avec le plus grand nombre. Cela passe souvent. Or il jalouse tant sa victime qu’avec elle il est dans ce massacre programmé, instantanément. C’est cet instantané du massacre qui fait de lui un pn, une machine. Et cet instantané lui fait plaisir d’ailleurs, il aime montrer à sa victime et à lui-même qu’il est un faussaire, il aime avoir ce pouvoir d’être un instantané du massacre, de savoir qu’il n’est pas celui qu’il veut faire croire, cela lui donne un sentiment de puissance.
J’ai perçu très jeune que cet instantané existait, qu’il se manifeste par exemple par des remarques cinglantes, ou des projections reptiliennes, des menaces, quand le bloc de son moi est menacé subitement par une situation qui ne lui convient pas.