Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

Le pn est incapable d’aimer et d’apporter de l’amour, si ce n’est infantile ou sénile. Le fait qu’il soit étranger à l’amour est un moteur chez lui : il veut le susciter chez l’autre, c’est son combat. Le fait qu’il n’ait aucune qualité propre au charme est le moteur de sa jalousie. Il n’éveille rien chez l’autre et recherche une victime qui ait les vertus qu’il n’a pas en lui pour la vampiriser, ou bien un auditoire qui croit en ses sornettes.

S’il est malade, ou proche de la mort, il l’est régulièrement tous les 20 ans, il va tenter d’apitoyer les autres sur sa finitude, oubliant que nous allons tous mourir. Si ce serait une excellente chose qu’il soit mort, car il nuit principalement et prend du plaisir à détruire l’innocence, la beauté, à laquelle il n’a pas accès (on a vu qu’il est le principe inverse de l’étrangeté), si donc ses victimes ou ceux qui se rendent compte de sa supercherie n’iraient pas plus mal s’il était mort, le monde doit l’accompagner pour sa sinistre mort.

Le monde doit mourir si il meurt, car il n’a jamais touché le monde. Le monde doit mourir, car il a été incapable d’être touché par sa grâce. Le monde doit mourir, car il n’est pas humain, mais un tyran. Le monde doit mourir, car il le hait, et veut le démolir. Il veut démolir le monde, la vie et les gens, et pour cela il veut être la personne la plus charmante qui soit. L’évidence qu’il n’a rien du beau, du vrai et du bon est tellement flagrante qu’il va inverser absolument cela.