pourquoi le pn cherche absolument à inverser le sentiment de jalousie chez sa victime ? (à venir)

by Florian

Le pn cherche absolument à inverser le sentiment de jalousie chez sa victime car il le ronge cruellement depuis toujours et toute l’occupation de son cerveau robotique cherche cela, cette inversion précise. Il peut avoir l’appui éventuel d’autres personnes jalouses dans certains cas. Ce qui déclenche la pathologie du pervers manipulateur est ce sentiment de jalousie permanente : il veut être quelqu’un d’autre car il n’est rien.

C’est pour cela qu’il est un mime permanent : il cherche à être. Dans mon cas précis, le pn était jaloux à en mourir de la préférence de sa mère pour son frère avant d’essayer de réparer cet état initial et de mentir à ce sujet. La jalousie du pn est tellement forte (il n’est rien et voudrait être), comme je l’ai dit, que toute son activité mentale (forcément malsaine) est orientée vers cela.

Il y a quelque chose de malsain dans les familles à ce niveau là comme me l’avait dit une de mes psychiatres, quelque chose de profondément malsain qui est à l’origine de l’esprit clanique. Si une personne malodorante et repoussante cherche à inverser la jalousie, c’est aussi qu’elle est présente dans beaucoup d’esprits, et que donc il trouvera des complices à son œuvre de falsification.

Car la falsification est la jalousie, est cette chose précise de ne savoir aimer sans profiter, c’est à dire sans pouvoir se comparer au lieu de savoir aimer purement l’instant présent et le monde tel qu’il est. On peut donc se représenter le pn comme une pollution mentale, une pollution cosmique qui joue sur ce qui n’est pas l’immanence mais la projection, l’idée que ce serait mieux autrement.

Et pour cela il aura des adeptes, des adeptes du temple de la jalousie et de la comparaison, des adeptes insatisfaits de ce monde et voulant le changer. Or la pollution ne change pas l’état du monde en bien : elle l’aggrave et aggrave l’injustice, l’esprit clanique, le repli sur soi. La jalousie règne sur cela : un monde qui se compare et se projette, un monde qui se pense mieux ailleurs, mais qui n ‘est pas capable de vivre cet ailleurs.

L’idée d’échanger les personnes est le propre de la jalousie : l’idée qu’il faille obtenir pour être, et dénaturer pour être heureux. Tout cela ne mène à rien, cela est une supercherie et une pollution, cela a un nom : la haine, la haine de ce qui est.