pourquoi la stratégie de la victimisation est toujours le dernier recours du pn ?

Quand le pn est démasqué, il fait appel à ses émotions : la tristesse principalement, qu’il est en mesure de faire sortir et qui est presque son unique émotion, comme s’il éprouvait un deuil permanent, mais un deuil dont il est coupable, un deuil dont il se sert pour endeuiller le monde et obtenir les faveurs des gens (le mieux comme je l’ai dit est de laisser l’endeuillé à son petit cercle, tout comme on aurait dû laisser Adolf Hitler à son petit cercle plutôt que de lui donner le pouvoir).

Il fait donc remonter la tristesse à la surface quand il est démasqué et fait appel à la pitié, à l’humanité, que nous avons presque tous en nous. Sa tristesse en vérité agit tout le temps et augmente avec le temps. Sa stratégie de victimisation passe aussi par le chantage et l’inversion : je suis l’agressé, c’est toi qui m’insultes, c’est toi qui me persécutes, tu ne me remercies jamais, tu ne me pardonnes rien, tu t’énerves tout le temps.

En retournant la situation voire en mettant en avant des qualités qu’il n’a pas, on peut aussi le prendre en considération, le trouver vertueux, résistant, fort, mature, qualités qu’il aimerait avoir mais qui en vérité apparaissent en décalage total avec ce qu’elles sont. On peut alors le louer pour sa grandeur. Mais il ne possède pas ses qualités : il les affiche, il les met en avant.

Dans tous les cas et quoi il arrive, le pn retournera rapidement à sa position initiale, comme toujours après qu’il ait obtenu quelque chose, et comme toujours parce qu’il n’est jamais satisfait de rien, non pas par une quête spirituelle de la vérité ou autre, mais parce que ses bénéfices recherchés sont primaires et péremptoires, parce que sa nature n’est pas spirituelle ou humaine, mais orienté par la primalitée.

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