Un pn ne peut pas puiser en lui des sentiments qui lui sont propres, ou bien parce qu’ils le dévoileraient, ou bien parce qu’ils sont absents ou négatifs. Il ne peut pas se connaitre, et transcender sa douleur par l’art. Cela ne pourrait pas produire de l’art mais tout au plus des copies. On pourrait peut-être dire cela également de discours vraiment originaux et bien étoffés. Cette absence de nature propre ne lui permet pas de la faire jaillir, car l’art dit vrai en ce sens, l’art dévoile ses sentiments ou ses angoisses, et lui ne le veut pas. Il est empêché d’être, et ne peut être prolifique en la matière. Ce sera souvent pour lui une source de jalousie ou d’hypocrisie, comme on le rencontre souvent chez les maçons qui auraient aimé être des créateurs à défaut d’être des bâtisseurs imaginaires de cathédrales (laissons ce soin aux véritables architectes).
Son incapacité à créer peut ne pas l’empêcher pour autant de ne pas savoir de quoi cela procède. Mais comment toujours il est en butte à une chose qu’il ne comprend : lui, comme un mur invisible qui le coupe du monde et l’empêche d’avoir accès à lui (autrement que par le truchement et la violation). Cette incapacité a pouvoir vraiment user du monde positivement l’énerve beaucoup, comme beaucoup de maçons aussi que reproduisent de la pensée qui ne vient pas d’eux mais d’esprits créateurs et libres (même si certain accessoirement étaient maçons).