De la perversion ou de la l’illusion optique du rat.

by Florian

Il n’y a jamais eu une once de désir fusionnel envers mon père de ma part. C’est mon frère qui a fusionné avec lui, ou a subi son emprise de sa propre volonté en y trouvant son compte (il jalouse aujourd’hui ma liberté). Cette histoire de fusion entre moi et mon père ne provient que de votre esprit détraqué (vengeance, jalousie, frustration sexuelle à mon égard, perversion, auto-manipulation). Je l’ai toujours fui, depuis ma plus tendre enfance, je lui disais de sortir dès qu’il entrait dans ma chambre et avait une relation fusionnelle avec ma mère uniquement. J’ai tenu une distance vertigineuse avec lui et ai seulement profité de mon intelligence et mon émancipation.

Votre report sur le pou puant et hideux est une ironie du sort que les pucelles inexpérimentées pratiquent afin de prouver que la femme est inférieure à l’homme et qu’il ne faudra jamais lui donner autant de responsabilités qu’à l’homme. Leur instinct de porter secours aux hommes en général les a trompées, car le pervers utilise la pitié pour parvenir à ses fins et qu’on paye ensuite pour son propre sacrifice dû à son humanité en général, ou que quelqu’un d’autre le paye. Jouer sur la pitié permet de tout obtenir, même quand on est un pou puant et hideux et lorsque des hommes sains d’esprit ont la dignité de mener une vie raisonnable sans quémander ni être des poux hideux.

C’est surtout la superficialité et le vide absolu de la pensée qui peut attirer également, ce vide étant un vide attractif dont les victimes doivent se charger de la nullité afin d’éponger les tares et la bestialité du mime.

Ce type qui n’a rien foutu pour être là, bénéficie maintenant de la grâce d’une personne qui lui est totalement étrangère et qu’il a tenté de massacrer ou bien avec une haine démentielle ou bien de sordides mimiques de singes et de pou gluant névrotique. Cette répulsion que j’ai pour cette anomalie depuis mon plus jeune âge et que j’ai fuie, aiguise dans les esprits des pucelles des conviction aberrantes, chargées de poncifs patriarcaux qui n’ont jamais été mis en place que pour assouvir le désir des hommes.

L’horreur a une odeur : elle pue la crémation de la chair. Elle utilise l’instinct de justice pour semer le désastre. Plus elle pue, plus elle sent la crémation de la chair, plus la perversion est attractive et le viol abject.