Je suis un grand lettré, qui pourrait vous en parler longuement pour vous charmer, mais je n’aime pas tellement cet état d’esprit, je ne veux pas devenir comme dans les parodies de Bourdon, j’y préfère une certaine liberté juvénile. Cependant je créerai, car je n’ai pas d’autres choix conséquemment au sort que vous m’avez fait. Et je créerai dans tous les domaines de la pensée, et non pas selon des limites bien établies. Deux solutions seraient envisageables avec ce sort que vous m’avez fait : ne plus rien faire, ou continuer à bien faire et à progresser. Vous m’avez eu, et en même temps je sais qu’il y a une majorité de personnes respectueuses parmi vous, mais pas toujours.
On verra si j’ai ma redevance !