CE QUI DE NOIR FUT

La tour seule et unique, amalgame
Les rêves tectoniques qui se joignent
Il n’y a qu’une seule personne

Il n’y a rien de ces rêves d’ensemble
Rien de cet amour partagé
Ce qu’ont chanté les gens

Mais la vraie trace de l’ancien
Le gout démiurgique de ce qui fuit
Se forment en coalition

Dans un vide épris et riche
Rien n’avait pavé le temps jamais
Que les débouchés de cette tour

La grâce nivelée enflamme
La grâce est éternelle et malade
Le temps fusionne avec le noir

Les marques sont des os et les peines
Des pierres de tailles
Dans la sombre tour tout est souffrance

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