Tu as un château qui semble l’aileron ou le ventricule il est sur l’esplanade il y a la route qui monte, comme les deltas des ronces roulées sont dans la méditerranées des terres que suggèrent le temps où ne sont définis que la cime, l’albâtre du sentiment joints au villa.
Les mensonges sont dits sur le dos des refus, les vraies allées transpercent ce qui résiste à des flux. J’ai été une fois pris par une aspiration, par une grande vitesse dans un quartier grommelant et triste, mais après que se définissent les clartés, j’étais seul et conquis par les deltas du transfuge.
Et le château ni plus ni moins avait la blondeur et l’excavation des terrains du possible nocturne, c’est n’était plus jamais la chaux qui levait ses gouttes sur les crépis, c’était d’autres décors qui venait mourir dans la bouche du blond démon.