Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

Je suis ce qu’il voudrait être, il prêche ce qu’il voudrait être. Ceux qui voudraient être si retrouvent…

Mais je ne vais pas plus mal. Je n’ai plus de doutes ou de scrupules à avoir sur ma filiation, plus de questions perdues à me poser : je connais d’autant plus son horreur, en partie, qu’elle est claire. Vous m’avez aidé à ce sujet. Qu’elles que soient les intentions, bonnes, mauvaises ou perdues, j’ai les idées d’autant plus claires.

Et je sais d’où me viennent mes questions perdues : de l’homme perdu qu’il est. J’ai payé le prix du tourment de l’être sur ce qui n’est pas. M’en détacher, avec une indépendance financière, eut été la seule solution d’une vie bonne, et de ne pas me lier à d’autres personnes au comportement similaire. Le tourment est le prix de l’être sur ce qui n’est pas.

Qu’un homme cherche ce qu’il ne sera jamais, voilà la chose la plus dangereuse et violente au monde, car ses moyens d’accès pour cela seront les plus faux au monde…

Tant qu’on voit ou écoute un manipulateur, on est manipulé. Ou bien on le croit, ou bien on disjoncte…