Farines.

J’aime beaucoup l’idée du film Le consentement où l’on voit une jeune fille pleine d’espoir se voir rouler dans la farine. Et ce qu’elle a recherché d’avantage chez une personne, elle se l’ai vue ôtée deux fois plus que chez cette autre personne. Elle s’est faite totalement avoir, baisée jusqu’à l’os. Ce qu’il y aurait de bien ce serait un homme génial qui soit à la fois un peu vieillot mais vif en même temps comme on a pu le soupçonner parfois chez moi. Mais il n’y a que dalle de bien dans la vie, et une police des moeurs serait parfois envisageable. Mais pas de police pour la farine, pas de police pour cette putain de farine dans laquelle on me roule moi aussi depuis toujours. Je suis devenu de la farine, une petite poudre poreuse dans un monde brut et rigide. J’ai épaissi et fait une pâte durcie. Oh quelle belle métaphore ! Je suis sanctionné, observé de partout, par des détractrices et des admiratrices. Dès que je dis un mot, je ne sais pas du tout à quoi m’attendre. On se dit tiens il a bien de la chance. Ma sincérité est peut-être un ensemble, ma créativité un exutoire. Or elles me condamnent aussi, elles sont l’origine de ma perte. Oh que faire, oh que fer se peut dans les usines à fer des siècles passés où l’on battait le fer (?). Je me suis fait repasser par le monde, et maintenant étuis déchiré et fripé sur la grève du monde (?). Oh que sortent ensemble les tourbillons des scaramondes, et que s’éclipse l’abcès des ornithologues immondes (?). Oh que paisse la flèche du dragon sur les parois instables de ma flamme (?). Car je suis marié au lézard du monde, à la fissure qui entre dans le détail subtil des mappemondes. Je suis l’intangible correcteur des ondes, l’abrasive métamorphose des mondes, le trombone elliptique des tombes et la corde absconse des frondes (?). Oh moi seigneur Attila des koalas, des bois et des frissons !

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