L’emprise de l’incertain succombe
Aux gouttes qui se lèvent en ce matin
A la prairie de vertèbres et la semblance
D’une querelle venant des esprits lointains

La page se lève dans la tournure du livre
L’écornure des vêlages bat le plein silence
La salade se mange avec les demi-teintes
Des œillères qui fondent sur ton bassin

La sève déborde de ces nids de poule
Qui absorbent les tessitures des foules
Il pleut sur la ville dans un esprit d’avril
Tourmenté comme une grâce changeante

(28 / 04 / 24)

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*