LE COEUR OUVERT
Je suis au fulminement, cela transpire
Et découpe les petites tranches du bois mélodieux
Dans une prairie sylvestre et mentale
Elle attache des rares esquives
La beauté poétise, voir est indicible
Le regard est une ligne ouverte
Et mes yeux sont le panorama
Des éclaircies plates
Des velléités sommaires, j’ouvre le grand
Sens du large et j’ai voulu dire
Que jamais rien ne s’arrête
J’ai voulu garder l’empreinte céleste