LECTURE

Il n’y a plus de bruit et de semblance
Tout est étranger à ce qui règne
Et bout dans la phalange
L’ailleurs s’énerve de cette plaisance

Nous sommes les vaincus de l’ajour
Et nous émerveillons d’un discours
Mort aussi d’être, de ne plus être
Que la transe du jour

Nous luisons sur la toiture d’asphalte
La tension s’annule dans le livre
Où l’opacité est réelle
La nature est sur les bords crénelés

De la ligne éternelle

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