Apparences
Tout me fait si élogieux dans l’apparence des arbres
Aucune forme de tristesse ne s’échafaude
Dans les coups qui partent
Il n’y a rien avant le froncement que l’indolence
Nous finirons dans un jeu de briques à se voir
Gratifiés par la somnolence des arbres
Tout se réconcilie comme la main et la prudence
De bouts de terrains plastiques et ingénieux
Dans les rondeurs du silo et ses grains