La fine biologie.
Elle me transmet ses affres. Sa voix aigrie et haineuse, qui à chaque fois est une déception. Et toujours je m’enfonce dans cette mort, où l’on hait sans cesse plus, où l’on détruit la fine biologie. La fine biologie ? Ce qui n’est pas aigri, irréfléchi, mais vrai. Deux choses l’entravent : le mensonge et la haine. Quand on est grand on n’a envie de rien, on est sublime, toutes sortes de papillons se collent à votre porte, toutes sortes de créanciers aussi, toutes sortes de choses. On vient et on repart, on veut prendre de cette grandeur, profiter. Mais quand j’appelle les voix haineuses, par désespoir, je m’en sors détruit. La fine biologie est morte, par la mort elle-même. La fine biologie est menacée, de toutes parts, car elle est grande et forte. La fine biologie n’a pas de secours, c’est son drame. Son drame l’emporte, et toutes sortes de papillons viennent se coller à sa porte, et toutes sortes de créanciers.