RUELLE

Je ne viendrai plus par cette bruine
Me bruler à ton appel
Les verges de feu ne sont plus
Qu’un tigre qui nous ensorcèle
Il n’y a plus d’espace pour le feu
Une mélancolie se tient aux ruelles
Et ne sont jamais clairs
Ces appels que tu envoies

Tu m’a brisé par cet élan imaginaire
Et j’ai soupçonné que tu aies tué
Nos cervelles qui ne témoignent jamais
Que de la vraie parcelle, la vérité
Tu as fait un chien de tout appel
Et je meurs d’être ensorcelé

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