Les révolutions sont vulgaires, mais un changement qui ne change pas, un mouvement giratoire à peine qui ramène au même, sans l’emphase d’une chute et la méprise du présent, une simple mélancolie et un éclair enseveli dans la bulle de l’instant, c’est là que loge, c’est là que sont les mouvements qui aboutissent. Ils ne sont pas vraiment, mais il traduisent ce qui ne peut plus se faire, et ce qui est le seul changement : rien, mais une énigme. Plus belle à savoir qu’un passé aboli.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*