Vous n’avez qu’à me voir pour me changer les idées. Je suis parti de Paris parce qu’il ne m’était pratiquement rien arrivé de ce que j’espérais depuis cinq ans au moins (c’était un signe de protestation dont j’étais bien loin d’estimer la réalité concrète). Je savais tout au plus qu’une dizaine de poétesses s’adressaient à moi et l’ironie du sort a fait que tout m’est tombé dessus progressivement dans cette sacrée ville où je suis revenu.

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