La machine qui s’est greffée sur mon dos n’avait qu’une seule conséquente en-dehors des effets escomptés : la paranoïa. Ce qui était hautement prévisible chez un individu souffrant de troubles psychiques qui se rend compte que le monde entier parle de lui et le surveille, se mêle de sa vie privée.

Le chien divin comme il en témoignait dans certains de ses poèmes sur Diogene est devenu une bête de foire à qui l’on jette des cacahuètes.

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