Etoile du jour.

Ces écailles blanches ne sont pas empiriques
Elles se cognent, elles se cognent
Au-delà du delta onirique
De si fins cheveux qui touchent l’Amérique

Elles sont mortes et fatidiques
Celles qui ne pouvaient écouler les lieux
Mais brins et cheveux sont dans la luxure du noueux
Et le doucereux terrain qui décline

Des vols à l’envers touchent une Neptune dans le corps de ce jour
Et dans la nébuleuse blanche d’une luxure
Elles sont sans corps celles qui positionnent leur fêlures
Sur le meuble glissant

Les arbustes et le terrain évanescent

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