La pinède.
J’avais construit le rêve et il y avait un seul royaume
Logé dans un instant de dérive
Les sources elles-mêmes
Etaient parallèles
Il y avait de nombreuses paroles de futaie
Languissant et se voyant sans eau ni reflets
On jouait à être jeune et à transparaitre
Sans se voir et se savoir
Miroir de l’opacité mais il y avait une confection
Criarde de ces aiguilles et arbres
Cela était dur mais cela était mieux
Que des espoirs malades et des systèmes néfastes
Car il y avait le prix d’un seul centime
Accolé à ce rêve
Pour qu’il puisse naitre dans les bouches adjacentes
Les discours qui se terminaient dans l’alvéole
D’un vrai partage