Un feu ordinaire.

C’est tout au bout du bras que la tension s’exerce
On dirait qu’une pensée s’éveille et part avec la caféine
Dire au jour et encore à ce qui est le fruit
D’un arbre légèrement égoïste et prévenant
Des pauses naturelles que tu exerces dans la paresse

Tu te contentes d’une avenue millénaire
Si jeune que les ailes d’un phénix
Et il n’y a pas d’autre feu qu’une couronne
Qui se pose sur la tête d’un christ
Et fait que la vie brule souvent

Après que tu existes.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*