NUAGE DEFERLANT SUR UNE PLAGE

Ce n’était pas la peine de vous soucier de moi
La crème de cette pierre maintenant me le suggère
Vous êtes morts comme des feux et une vague stellaire
Emportera ce que nous fumes heureux à haïr

Le bonheur avait des rives qui se muselaient en roches
Il se surprenait à s’engendrer par des abrasions
Maintenant il déambule dans un horizon qui tend
A se perdre dans des préambules

Ils mourront aussi ceux qui n’ont touché une fois
Ma vive mélancolie de n’être plus, mais la division
Ultime d’être à ce qui a toujours appartenu
Vous savez, la division des aplats et des bandes

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