Puits.

Il y a un trou désirable
Un trou vraiment désirable
C’est là que tout entre là que tout est entré
Dans la fusion avec le sable du fond
Et les parois de pierres qui déambulent
Elles se sont formées lentement
Agrégées

Et la nuit autour est une fête à laquelle
Je ne sais pas si je participe
Je ne sais jamais qu’une lointaine découpe
Mais j’ai des mémoires réelles
Et des illusions vraies
Je participe à la fête

Je n’ai rien de ce qui peut déplaire
De ce qui peut disconvenir
Comme un requin nage dans les eaux sans savoir
Sans rien savoir les termes de la fête exultent
Et je suis assis en chien de faïence parfois
Quand tout s’annule

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