juin 2021

Extase.

L’extase est un frein diluvien
Qui prend comme la peine qui se tord
Dans l’essieu de ma machine
Il y travaille à se mouvoir et j’aime
Comme il est l’unique nature
Et comme neutres parfois sont les seuls mouvements
Sont les denses réalités
Non rien de surprenant
A ce que passent dans les courants ce qui signifie
L’absence et la lente corrélation
Des choses en elles-mêmes
Dansent les venins dans la flagellation
Dans ce qui sauve dans la gouttière
Et la chatière de mes rêves puise
Au sens le diluvien
De la pluie.

Bordeaux.

Dans le grand bruit de ta chaîne bordeaux
Les vases communicants du monde
L’unicat du bordeaux quand est fini
Le soleil et sa définition
L’algorithme du vide et la matière basaltique
Divisent en bois de frêne les tempes des anneaux
Les pouces qui partent sont les terminaisons minérales
D’une chair qui pourtant vit
Dans les angles d’une nature
Et dans les postures d’une grande et sublime déchirure

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