Nébuleuse.
Ta roche est nébuleuse, tu es la fougère
Que l’on fouette avec l’esprit des lieux, l’esprit est pluvieux
Dans cette forêt urbaine qui n’est plus
Nous sommes sur le chemin qui dessine la terre
Et seulement encore cette unique pierre où tu transpires
De ne plus être de de conquérir le ciel
Tu me traverses comme les courbes d’une ligne
D’un chemin de fer évasif
La lente dépréciation de l’être s’est confinée
Dans la tanière et le cri de l’oiseau égosillé
Le nid du paraître seulement s’est avéré
Dans la tourbe de ton corps réel