Chanteuse-moue. (à M.-F.)

La sale rue et l’effort de ne rien
Laisser présager que les grands blocs
Et les dolmens qui sauvent d’une ruine
Dans la pollution ton orfèvrerie
Ne désire rien que bouder

Le palais n’a pas été construit
Dans les marges d’une félicité virtuelle
Tu es sauve comme les fissures des créneaux
Les plages de béton où les béances
Ne cachent rien du désir

La surface agresse le miroitement
Avec ses vaguelettes de désir et pourtant
La sincérité de ce liant s’excave
Dans tes purs sentiments.


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