La Bonne Société au Sophiensaal (Engelhart)

Leur parure est un assemblage de légèretés
Qui plait aux hommes sommés de graisses
Et d’odeurs malingres relevées de parfums
Leur haine de la pureté est à son comble
Quand après le diner ces hommes les égayent
Elles s’enfouissent dans des légèretés saines
Pour accueillir la corruption et le règne du mal
Elles sont mauvaises et aiment les plaisirs
Qui les amollissent comme des machines
De purs mollusques prêts à être consommés
Elles aiment cela et sèment des vertiges
Dans ces hommes affairés qui les tolèrent
Pour avoir des relations sexuelles avec elles

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